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    Équipe de prévention et d’urgence

    En plus de contrôler les accès, les équipiers de prévention et d’urgence (EPU) sont formés pour évaluer les incidents en milieu souterrain, fiabiliser l’appel des secours, accueillir les pompiers et communiquer les premières informations au commandant des opérations de secours.

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    Détecteurs de gaz

    Disposés dans les galeries, des capteurs-détecteurs permettent de contrôler les émissions de gaz (dioxyde d’azote, CH4, CO2, O2 et NH3). Si le seuil d’alerte fixé est dépassé, une alarme est déclenchée et un message est aussitôt envoyé au responsable QSE ainsi qu’aux contrôleurs d’accès.

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    Circulations

    Pour éviter les heurts engins-piétons, les opérateurs sont véhiculés en galerie jusqu’à la zone de front. En surface, des espaces distincts de circulation sont délimités et des dispositifs embarqués sur les engins (capteurs de présence et signaux de recul).

    Un hangar traité sur le plan acoustique
    Entre la tranchée couverte déjà réalisée et l’entrée du tunnel de base, le hangar servant aux circulations et au retrait des matériaux excavés a été traité sur le plan acoustique pour limiter les nuisances sonores envers les riverains. Les matériaux vont ensuite être acheminés par des convoyeurs jusqu’à une unité de valorisation.

    Thierry Portaz, directeur qualité prévention environnement chez NGE (CO08)

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    Formation sur simulateur

    Un simulateur permet d’apprécier les aptitudes des candidats à la conduite des engins de formation. Les commandes sont identiques à celles que l’opérateur va retrouver sur ces machines semi-automatisées au cours de sa formation, avec un formateur mis à disposition par le fabricant.

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    Blanchisserie

    Un pack de vêtements de travail est mis à disposition des 200 compagnons présents sur le site, y compris les intérimaires, et un service de blanchisserie proposé trois fois par semaine avec des sacs propres à chaque équipe.

    Standardiser nos outils et méthodes à l’échelle du projet
    Les plates-formes de Saint-Martin et de La Praz, qui ont déjà connu plusieurs projets successifs, sont en cours d’aménagement pour être reconfigurées afin de réaliser les travaux de creusement du tunnel de base. Dans le même temps, les premières galeries sont en cours d’excavation. Nous cherchons à standardiser nos outils et méthodes de travail à l’échelle du projet afin d’appréhender nos principaux enjeux de sécurité, prévenir l’exportation de risques entre les sites et organiser les moyens de secours selon leurs configurations. ❜❜

    Antoine Mercier, directeur prévention chez Vinci Construction (CO06/07)

    Analyse des poussières

    Le capteur de particules porté par l’opérateur préleve la partie alvéolaire des poussières émises au poste de travail, qui sont ensuite analysées. Un second examen est réalisé en laboratoire de façon autonome afin de caractériser leur nature à l’aide d’un spectromètre.

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    L’installation de chantier mobilise un grand nombre de ressources
    L’évolution des techniques, depuis que les descenderies ont été réalisées, contraint les entreprises à démonter des tuyaux pour mettre le réseau en conformité avec les débits et avec les intervalles demandés entre les prises d’eau par les pompiers. Idem pour la ventilation. En matière de travaux comme en prévention, cette réinstallation de chantier mobilise un grand nombre de ressources. 

    Roland Karam, responsable prévention sécurité chez We Build Group (CO05A)

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